« Dai ! » C’est ce que lancent les Italiens quand ils veulent dire « Allez-y ! ». Ici, pas besoin d’invitation. L’envie de s’installer vient naturellement, portée par cette effervescence discrète qui règne dès l’ouverture des portes.

Entre ombre et lumière
Les espaces se succèdent avec fluidité. La terrasse couverte capture les rayons du soleil de fin d’après-midi. Plus loin, la salle principale enveloppe dans sa pénombre dorée, pendant que la mezzanine offre le spectacle de toute la vie qui bruisse en contrebas.Les œuvres accrochées aux murs semblent avoir été choisies par un ami de longue date, et les luminaires aux formes généreuses diffusent une lumière qui caresse autant qu’elle éclaire.

La magie des heures qui s’étirent
C’est le soir que DAI révèle sa vraie nature. Quand le jazz commence à flotter dans l’air et que les premières bougies s’allument, quelque chose change.
