L’Écrin Bleu de Tamuda Bay

Là où le Rif embrasse la Méditerranée, un nouveau joyau fait danser les reflets de nacre et les ombres des palmiers. Le Royal Mansour Tamuda Bay réinvente l'art de vivre en bord de mer.

Le lobby, dévoile une œuvre spectaculaire : une constellation de 95 000 coquillages récoltés sur la plage.

Les vagues murmurent une douce mélodie contre le rivage tandis que le soleil caresse les façades couleur sable. Dans ce refuge où l’élégance marocaine s’est donné rendez-vous avec la brise marine, chaque détail raconte une histoire. Le lobby, véritable ode à la mer, dévoile une œuvre spectaculaire : une constellation de 95 000 coquillages récoltés sur la plage, patiemment assemblés par des mains expertes, comme un tableau vivant né des profondeurs.

L’âme de la Méditerranée pulse au cœur de ce palace balnéaire. Les artisans du royaume ont tissé leur magie dans chaque recoin, mariant le contemporain aux traditions séculaires. Ici, un escalier en colimaçon s’élance vers le ciel comme une coquille nautile, là-bas, des lustres constellés d’éclats nacrés diffusent une lumière dansante sur les murs aux tons apaisants.

 

Les 55 suites et villas se déploient face aux flots turquoise, comme autant de havres de paix où le luxe se fait discret. Les intérieurs jouent une partition unique : plafonds ornés de nacre, bois précieux sculpté, touches de béton ciré et motifs marins sublimés par l’artisanat local. Chaque chambre est une invitation à la contemplation, avec ses larges baies vitrées cadrant un horizon où se fondent le bleu du ciel et celui de la mer.

La gastronomie, elle aussi, célèbre cette romance entre terre et mer. Dans les cuisines de La Table, le chef étoilé Éric Frechon compose une symphonie de saveurs où la langouste locale se pare d’accents japonais.

 

 
 
 
 
 
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À quelques pas, l’Espagnol Quique Dacosta fait danser les arroces en paella aux parfums safranés, tandis que les frères Alajmo insufflent l’âme de l’Italie à leurs créations méditerranéennes.

À la tombée de la nuit, l’Alboran Club devient le cœur battant de ce refuge. Les notes d’un piano s’élèvent dans l’air encore tiède, accompagnant le soleil qui plonge dans les flots en une dernière révérence flamboyante.

 

 
 
 
 
 
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C’est l’heure où les cocktails signature se parent de reflets dorés, où les conversations s’égrènent comme autant de perles précieuses dans l’écrin de la nuit tombante.

Sur cette portion préservée de la côte marocaine, le Royal Mansour Tamuda Bay réussit l’alchimie rare d’un luxe qui ne s’impose jamais. Entre les montagnes du Rif et les eaux cristallines de la Méditerranée, il dessine les contours d’un art de vivre où la splendeur se fait naturelle, aussi évidente que le ballet des vagues sur le rivage. Une adresse qui murmure plus qu’elle ne proclame, invitant à vivre, la plus délicate des romances balnéaires.

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Un valet en bronze dessiné par Isabelle Stanislas et fabriqué par les Ateliers Bataillard, une ferronnerie d’art centenaire. Le long du mur, une série de photos de voyage de son ami Jérôme Petit.