La Villa Taj: pause enchantée à Marrakech

À quelques encablures du cœur de la ville ocre, nichée entre le désert d'Agafay et les montagnes de l'Atlas, la villa Taj est une invitation à célébrer la vie en prenant le temps d'en apprécier les moindres détails.

Étendue bleutée de 25 mètres, la piscine se trouve au cœur du jardin paysager. 

Les lignes élancées de la piscine dessinent une perspective encadrée par un mur en pisé.
Les oliviers bonsaï affichent fièrement leurs ramages, témoins des décennies qui les ont vu prendre forme.

 

Conçue par l’architecte Marianne Labadie, la Villa Taj se veut un subtil mariage entre les principes d’une architecture contemporaine, aux lignes épurées et l’utilisation de matériaux traditionnels marocains.


Dès l’entrée de la propriété, le ton est donné. Les perspectives, travaillées au cordeau nous accueillent et nous transportent dans un écrin verdoyant où l’équilibre entre le bâti et le végétal est particulièrement réussi. Comptant quelques 21 chambres agencées autour du jardin paysager, la villa offre le sentiment d’espaces intimes tout en conservant chaleur et partage de lieux communs. 

Les chambres se déclinent dans des tons de blancs et d’ocres. Tout y a été dessiné et réalisé sur mesure par les artisans locaux. Le bois, l’osier et les tissus d’ameublement se conjuguent dans un camaïeu doux, propice au repos et à la détente. Page de droite Chaque chambre s’ouvre sur l’extérieur et profite donc de cette lumière propre à Marrakech. Certaines sont dotées de jacuzzi privatif, de baignoire extérieure afin de garantir un confort absolu à ses hôtes.

Le confort des chambres privatives est assuré par une sélection de matières et matériaux qui en font de véritables petits cocons, parfaitement adaptés à la détente et au repos. L’ensemble du mobilier a été dessiné sur mesure et confectionné par les artisans locaux.


A l’extérieur, l’architecte a choisi avec beaucoup de soin les moindres espèces végétales qui composent les jardins et en font de splendides tableaux. Baobabs australiens, cactus et autres oliviers-bonzaïs bicentenaires garantissent des espaces ombragés où il fait bon flâner.

L’utilisation du pisé traditionnel à travers des lignes architecturales épurées, offrent un rendu des plus contemporains. La végétation soigneusement mise en scène apporte un équilibre certain dont le sens est accentué grâce à la présence de l’eau et du minéral.

La superbe piscine de 25 mètres est encadrée par un mur en pisé et surmontée d’un olivier taillé, le tout n’est pas sans suggérer une sorte de toile oversize invitant à la contemplation. Tout autour, des lits balinais sont posés sur l’eau et habillés de voilages blancs offrant fraîcheur et intimité.


Enfin pour parfaire l’expérience, l’architecte a imaginé un Spa extérieur, tout en pierre de Bali. Une grande baignoire s’y prolonge dans un jacuzzi et se termine par des coins zen propices à la relaxation.

Les beds balinais agencés sur ses abords constituent des refuges de fraîcheur et d’intimité.

Tout les types d’événements et de célébration peuvent être envisagés au sein de la villa Taj.

La Villa Taj s’inspire tant de l’Afrique et ses paysages majestueux que de l’Asie du sud-est et sa légendaire quête de bien-être, mais c’est dans un Maroc multiculturel, riche de références et surtout fort d’une tradition de recevoir et de savoir-vivre inégalable qu’elle reçoit ses hôtes. 

Inscription à la Newsletter

Un valet en bronze dessiné par Isabelle Stanislas et fabriqué par les Ateliers Bataillard, une ferronnerie d’art centenaire. Le long du mur, une série de photos de voyage de son ami Jérôme Petit.